Dès
lors, la recherche du meilleur équilibre
passe par 2 actions conjuguées :
Réguler les populations pour les rendre
compatibles avec une activité économique
normale.
Aménager les milieux forestiers, agricoles
ou les infrastructures pour offrir à
la faune sauvage la place qui lui revient.
Les habitats de
la grande faune ne se limitent pas aux seules
forêts. Les animaux trouvent dans les
plaines agricoles une subsistance qu'ils ne
trouvent pas en forêt, surtout si les
forêts n'intègrent pas une surface
minimale de prairies naturelles (de 2 à
4% de la surface forestière). Enfin,
pour que leurs populations soient viables, les
animaux ont besoin de traverser les infrastructures
routières ou ferroviaires, effectuer
leurs déplacements saisonniers et entretenir
un brassage génétique minimal.
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