J’ai commencé à chasser le lapin au chien courant dans les corbières dès l’âge de 12 ans avec mon grand-père. Avant l’ouverture qui était à ce moment-là, le dernier dimanche d’août, j’entrainais les chiens, ce qui en plus me permettait de repérer les endroits les plus favorables. Mon aïeul appréciait particulièrement ces informations.
Il m’a appris le maniement des armes et les règles de sécurité alors qu’aucune formation n’était exigible, pour prendre son permis, il suffisait de le demander. Ce que j’ai fait, bien plus tard. J’avais attrapé le virus de la chasse, comme celui du tir et depuis ils ne m’ont plus quitté.
J’ai commencé à chasser le grand gibier dans la forêt des Andelys en 1978 alors que je travaillais à Paris. Depuis je l’ai chassé dans le Var, en Franche Comté, en Alsace et maintenant en Occitanie.
Malgré 45 ans d’assiduité, je reste un passionné de cette chasse avec une préférence très marquée pour celui que je considère comme mon animal de prédilection : le sanglier. Son intelligence, sa ruse, ses réactions me fascinent encore et toujours quel que soit le mode de chasse pratiqué.
J’ai passé mon brevet grand gibier à Woippy en 1992 et j’ai été président d’une ACCA d’Occitanie pendant 6 ans.
Quant à mon autre passion, le tir aux armes de sport et de chasse, devrait être « obligatoire » et pour de très nombreuses raisons : sécurité, souffrance animale… pour exercer toute activité cynégétique. J’exerce bénévolement une activité de formation des initiateurs de tir des clubs de la FFBT en Occitanie. Je suis évidemment entraineur de tir y compris sur sanglier courant, discipline de la FFBT parmi les 8 dont elle a délégation.
Régis Lopez