La chasse, comme vous pouvez vous en rendre compte en lisant ou écoutant les médias vit des attaques de plus en plus ciblées et acharnées de la part de ses opposants qui n’hésitent pas à se mettre dans l’illégalité la plus complète pour détériorer, empêcher, afin d’atteindre leurs vils objectifs. Qui sont en réalité ces détracteurs de tous bords ? Bien souvent des ignorants idéalistes, méconnaissant la richesse de notre faune sauvage et qui ne s’investissent pratiquement pas au titre de la sacro-sainte « écologie » qu’ils prônent pourtant par tous les moyens.
Nous devons, nous chasseurs, réagir en conséquence et montrer que la chasse est une activité saine, propre et nécessaire à notre environnement. En un mot, une activité écologique. Il y va de son avenir.
Mais pour cela, nous devons être à la hauteur en prouvant que nous connaissons parfaitement la nature et les animaux qu’elle abrite. Montrons que nous avons appris à gérer du mieux possible ce capital dont tous les usagers peuvent profiter (nous ne saurions passer sous silence le rôle des chasseurs lors des grandes épidémies avec leurs conséquences tant écologiques qu’économiques).
Parce que nous adhérons à l’ACGG du Dauphiné affiliée à l’ANCGG reconnue d’utilité publique, nous appliquons et respectons l’éthique telle que définie dans sa charte, en mettant tout en œuvre pour promouvoir ses ambitions (Le Brevet Grand Gibier étant le premier instrument).
Et je terminerai par les mots du Président Jean CHENAVAS: « La pérennité d’une chasse bien gérée en harmonie avec la nature et les autres utilisateurs demeure pour l’ACGG du Dauphiné son objectif et sa préoccupation ».
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